Avec un processus d’enchère pour les fréquences de la 5G en bande 3,5 GHz qui reprendra le 29 septembre, tous les opérateurs sont sur les rangs pour tenter d’obtenir des blocs supplémentaires de 10 MHz afin d’étoffer leurs ressources spectrales, ce qui permettra d’augmenter les débits et de proposer plus de services.
Free Mobile est comme les autres prêts à batailler pour ces fameux blocs et Thomas Reynaud, son directeur général, indique à franceinfo que l’opérateur saura se montrer « combatif » alors que tous les acteurs ne pourront pas atteindre la limite de 100 MHz de bande passante décidée par l’Arcep.