Un groupe industriel asiatique comprenant Apple, Facebook, Google, LinkedIn et Twitter a averti que les entreprises technologiques pourraient cesser de proposer leurs services à Hong Kong, si cette dernière poursuit ses projets de modification des lois sur la protection de la vie privée et la divulgation de données personnelles, aussi appelée « doxing ».
Des inquiétudes sur l’interprétation possible de cette législation
Le groupe, Asia Internet Coalition (AIC), a envoyé cette lettre au cours du week-end. Les entreprises y déclarent conjointement être préoccupées par les changements législatifs proposés, qui visent à lutter contre le doxing, car ces amendements pourraient potentiellement avoir une interprétation trop large, selon laquelle même des actes innocents de partage d’informations en ligne pourraient être considérés comme illégaux, rapporte le Wall Street Journal.