Prévisions budgétaires à revoir, prix élevé de certains événements organisés par le COJO, rémunérations annuelles des principaux dirigeants en question… Les magistrats financiers ont tout passé au peigne fin et plusieurs points les ont fait tiquer.
Leur première préoccupation a été un surcoût de 400 millions d’euros pour l’organisation des Jeux olympiques, dans un contexte économique particulièrement déprimé. Paris 2024 a déjà anticipé l’économie à faire à travers, notamment, la réduction du nombre d’équipements provisoires annoncée fin septembre.