Comme tout système informatique, les clés de sécurité (tokens) physiques permettant de protéger l’accès à des services et applications via une signature à double authentification peuvent être piratées. Certaines donnent cependant plus de fil à retordre que d’autres comme a pu le montrer l’équipe de chercheurs en sécurité NinjaLab qui s’est attaquée ni plus ni moins qu’à la clé Titan de Google. Un gros morceau qui a abouti à un hack nécessitant toutefois de mettre en place des moyens et des conditions de réalisation particuliers ne mettant pas ce piratage à la portée de tout un chacun, loin de là.