On se souvient des manifestations qui avaient eu lieu il y a maintenant plus de deux ans avant l’examen de la loi « sécurité globale ». Après avoir été raboté par le Conseil d’État, celui-ci vient de valider le texte sans grandes modifications, ni contestation. Le volet numérique inquiétait déjà fortement, mais ce n’est finalement pas grand-chose en comparaison du nouveau projet de loi proposé par le gouvernement pour encadrer les Jeux olympiques de Paris en 2024.