Le cloud public, peu adapté à l’hébergement de sites malveillants ? Oui et non, d’après Palo Alto Networks.
Le groupe américain aborde la question dans le compte rendu d’une analyse qu’il a menée du 29 mars au 26 avril derniers.
Cette analyse a porté sur 1,2 million de noms de domaines nouvellement enregistrés et contenant des mots-clés liés à la pandémie de coronavirus.
La démarche se fonde sur un jeu de données mis à disposition par la société RiskIQ. Six mots-clés en langue anglaise y sont pris en considération : coronav, covid, ncov, pandemic, vaccine et virus.