La compromission du courrier électronique professionnel (BEC) est une escroquerie énorme et rentable, mais Microsoft a mis un frein à une opération en mettant hors service son infrastructure de cloud computing.
Pour contrer les escrocs, Microsoft a fait appel à son unité du crime digital (Digital Crimes Unit) pour s’attaquer à l’infrastructure qu’ils utilisent.
A l’instar d’autres entreprises, les cyberattaquants usant de BEC se tournent vers le cloud pour mener leurs opérations. Mais Microsoft affirme que ses enquêteurs ont perturbé un grand groupe qui utilisait les principaux fournisseurs de cloud.