Ils portent le nom de stalkerwares, c’est-à-dire des logiciels pour harceleurs (stalkers, en anglais). On les trouve sur Internet avec des abonnements autour d’une trentaine d’euros par mois. Une fois installées sur le smartphone de la victime, ces applications grand public vont permettre de récupérer le contenu des messageries, les listes d’appel et la géolocalisation. Ces applications d’espionnage sont souvent citées dans le cadre d’affaires de violences domestiques.