Les pirates russophones ne sont pas les seuls à faire des dégâts. Et parfois, la menace est plus proche qu’on ne le pense.
Deux hommes ont été condamnés vendredi dernier pour piratage informatique à huit mois d’emprisonnement, dont quatre ferme pour le principal mis en cause, comme l’a rapporté l’AFP. Ils devront également payer plus de 20 000 euros de dommages et intérêts à l’Agence régionale de santé (ARS) Ile-de-France, victime d’intrusions informatiques entre le 11 avril et le 9 mai 2016.