Le plus souvent, les cyberattaques commencent par les humains plutôt qu’avec la technologie. Dans son rapport d’enquête de 2023 sur les violations de données, la société américaine de cybersécurité Verizon, révèle que l’humain est impliqué dans 74 % des incidents. En 2020, ce taux d’implication était de plus de 90 %.
« Les personnes étant impliquées soit par erreur, soit par abus de privilèges, soit par l’utilisation d’informations d’identification volées ou par l’ingénierie sociale », expliquent les chercheurs. Les hackers l’ont bien compris, l’humain reste un maillon faible.